COVID-19 : l’OMS confirme le risque de transmission aérienne

Après l’alarme sonnée par plus de 200 scientifiques internationaux, l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a reconnu que de nouvelles preuves confirment le potentiel de transmission aérienne du nouveau coronavirus. Un aspect crucial à prendre en compte dans les mesures d’hygiène hospitalière, et dans les lieux d’accueil au public.

Il est temps de parler de la transmission aéroportée du Covid-19

« Nous reconnaissons que des preuves émergent dans ce domaine, comme dans d’autres domaines concernant le virus de la COVID-19 et la pandémie. Par conséquent, nous devons être ouverts à cette possibilité et comprendre ses implications pour le mode de transmission et les précautions qui doivent être prises », a expliqué Benedetta Allegranzi, responsable technique de l’OMS pour la prévention et le contrôle des infections, le 7 juillet, lors d’une conférence de presse en visioconférence.

 

Transmission aérienne par gouttelettes

Dans une note scientifique,  version actualisée de celle publiée le 29 mars, l’OMS énonce les différents modes de transmission possibles pour le SRAS-CoV-2 : par contact, par le biais de gouttelettes et par voie aérienne, mais aussi par des objets ou surfaces contaminés, par l’urine et les excréments, par le sang, de la mère à l’enfant et de l’animal à l’homme.

 

Quelle est l’influence de la climatisation dans la transmission du virus?

Le rôle que la climatisation pourrait jouer dans la transmission aérienne du coronavirus est en cours d’investigation. Les systèmes de climatisation réguliers font recirculer l’air. Lorsque la température extérieure est extrême, l’air intérieur recircule davantage, ce qui amène les personnes à l’intérieur à respirer un pourcentage plus élevé du même air expiré. En outre, les composants du ventilateur des climatiseurs peuvent donner une portance supplémentaire aux aérosols de coronavirus, et les maintenir en suspension dans l’air plus longtemps.

Comment lutter contre la propagation du COVID19 ?

Dans les environnements protégés, il ne suffit pas de décontaminer les surfaces et les matériaux. En raison de sa mobilité, l’air est également responsable de la propagation des micro-organismes, constituant ainsi un vecteur de la contamination, selon la norme française NF S 90135. Le traitement de l’air est nécessaire en hygiène hospitalière pour lutter contre la propagation des infections.

Que peut apporter ATA ?

Le SARS-COV2, responsable de la maladie infectieuse respiratoire Covid-19, fait partie de la famille des Coronaviridae, constitué d’une membrane lipidique d’origine cellulaire. Nous avons fait tester notre chaine de filtration F7+H14 et les technologies de décontamination par Photocatalyse, et module Bioxygen® sur le virus Influenza H1N1, de la catégorie à membrane lipidique, comme celle des coronaviridae, nous avons obtenu 99,9929 {01e3c5e93231d16e008ef94f2b1d6fd0127ff363a7cc717001d1444d838f865e} de rétention (Rapport d’essai Virnext ATA20140305E5 Lyon, le 05/03/14).

Conclusion après étude : Le système « Room Dopair/Dopair » développé par la société ATA-Medical permet de décontaminer un espace confiné de 2,5 m3 en 5 minutes associé à des efficacités de 99,9929 {01e3c5e93231d16e008ef94f2b1d6fd0127ff363a7cc717001d1444d838f865e} et 99,905{01e3c5e93231d16e008ef94f2b1d6fd0127ff363a7cc717001d1444d838f865e} respectivement pour les catégories de virus avec membrane lipidique comme les coronaviridae, et sans membrane comme l’Adénovirus type 5, respectivement. Le système « Room Dopair/Dopair » permet donc de décontaminer l’air d’un espace confiné contenant des virus causant COVID-19.

Le rapport complet est disponible sur demande, nous contacter ici

Recommended Posts