SOLUTIONS CONFORMES AUX REGLES HYGIENE
C’est en respectant les indications techniques imposées par les normes hygiènes en place pour le développement de chaque produit, qu’ ATA est depuis maintenant 30 ans, une entreprise experte du traitement d’air hygiène.
En collaboration quotidienne avec des Centres de recherches Universitaires en France, telle que l’Ecole des Mines de Nantes, ATA développe son expertise sur les nouvelles technologies qui permettent d’offrir des solutions sur mesure.
Trois niveaux de normalisation sont à considérer: niveaux national (AFNOR), européen (CEN) et international (ISO).
Les normes ISO 90351 ou NF EN ISO 14644-1 donnent des objectifs en fonction des risques de contamination aéroportée en jeux.
La voie aérienne implique la prise en compte de deux phénomènes associés, l’existence de micro-organismes (aérobiocontamination) et celle de particules inertes (aérocontamination) dont certaines servent de support aux micro-organismes.
L’évaluation du risque de contamination pour le patient doit prendre en compte l’état du patient, l’acte, les acteurs et l’environnement. Cette classe de risque est à mettre en relation avec les performances particulaires, microbiologiques et aérauliques d’une salle définies dans les tableaux suivants:
La norme ISO classifie les salles propres en différentes classes. Pour chaque zone de risque, la norme ISO indique des performances techniques à atteindre.
Parmi lesquelles,
• Classe Particulaire est celle définie par la norme NF EN ISO 14644-1 selon la taille des particules présentes dans l’air.
CLASSIFICATION DE PROPRETÉ PARTICULAIRE DE L'AIR SELON 14644-1
c: Les conditions maximales admissibles ne s’appliquent pas dans cette partie du tableau car elles sont très élevées.
d: Les limites du prélèvement et les limites statistiques sur ces faibles concentrations rendent la classification inappropriée
e: Les limites des mécanismes de prélèvement, dues à la fois aux faibles concentrations et au prélèvement de particules de tailles supérieures à 1 µm, rendent la classification inappropriée à cause des particules potentiellement non mesurées car retenues à l’intérieur du système de prélèvement.
• Classe de cinétique de décontamination particulaire: La cinétique de décontamination particulaire à un niveau de 0,5 micron/m3 est définie par le temps nécessaire pour obtenir une décontamination de 90{01e3c5e93231d16e008ef94f2b1d6fd0127ff363a7cc717001d1444d838f865e} par rapport au pic de pollution initial. Par exemple, une classe de cinétique de CP 10 signifie que 10 min sont nécessaires pour atteindre 90{01e3c5e93231d16e008ef94f2b1d6fd0127ff363a7cc717001d1444d838f865e} de taux de décontamination.
• Classe Microbiologique: elle indique la concentration maximale du nombre de particules viables par mètre cube d’air (ufc/m3). Par exemple, M10 indique qu’à ce niveau, une concentration maximale de 10 particules viables par mètre cube d’air est acceptée.
Les risques requérant des armoires de traitement d’air nécessitent une étude plus approfondie de votre projet pour atteindre les performances imposées par les normes hygiènes.
Il est en effet indispensable de connaître les éléments suivants :
– Volume et dimensions de la zone à risque à traiter
– Emplacement de l’armoire de traitement d’air
– Type de refroidissement : Détente directe / Eau glacée
– Humidité relative et température souhaitées
– Humidité relative et température extérieures minimales / maximales.
L’entreprise dispose de produits fiables, développés par un bureau d’études justifiant d’une expérience de plus de vingt ans.
Ces résultats exigent d’excellentes mises en œuvre, un traitement parfait et une connaissance précise des matériaux. Pour réussir cette combinaison, nous faisons preuve d’une grande flexibilité, disposons de personnel qualifié et de technologies de fabrication de pointe.
En utilisant l’onglet « Votre Projet » vous obtiendrez un aperçu des solutions qu’ATA peut vous apporter pour votre traitement d’air hygiène. Cet outil propose à titre d’exemple en fonction des types d’activité une correspondance de classe de risque: il n’est pas exhaustif et ne se substitue pas à une analyse de risque.