Recommandations du Haut Conseil de la Santé Publique sur la qualité de l’air intérieur
Nous savons maintenant que le SARS-CoV-2 se transmet principalement par aérosol, terme utilisé pour indiquer tout mélange de particules de taille inférieure à 5 micromètres. Plus ces particules sont petites, plus elles sont légères et restent facilement dans l’air en s’agrégeant sous la forme d’aérosols.
C’est le cas du SARS-CoV-2 qui est très petit (70-130 nanomètres) et qui a été retrouvé en suspension dans l’air pendant plusieurs heures (jusqu’à 3 heures) après avoir été émis par des sujets porteurs, même asymptomatiques, qui parlaient, chantaient, exhalaient de l’air.
Pour empêcher la transmission aéroportée du virus, il faut mettre en œuvre un plan d’assainissement de l’air intérieur dans les lieux publics.
" Filtrer chaque heure le volume du local avec le taux de brassage conseillé"
Parmi les mesures d’hygiène en matière de qualité d’air dans les lieux clos, les dispositifs de purification d’air s’avèrent une arme efficace contre la contamination microbiologique.
Suite à plusieurs études démontrant l’impact positif des purificateurs d’air, le Haut Conseil de la Santé Publique (HCSP) recommande leur mise en place lorsque la ventilation naturelle n’est pas suffisante.
Le HCSP précise qu’une étude technique préalable à toute installation de ces dispositifs doit être réalisée par une personne qualifiée afin d’évaluer, entre autres :
- le volume du local à traiter,
- les flux d’air naturels ou forcés existants,
- le nombre d’appareils à prévoir pour assurer une filtration suffisante de l’air de la pièce à traiter,
- la disposition des appareils compte tenu des obstacles éventuels à la circulation de l’air.
L’application des mesures barrières dans les locaux ventilés, aérés et équipés d’une unité mobile de purification de l’air doit être maintenue.
Le HCSP préconise de n’utiliser que des purificateurs d’air utilisant la filtration HEPA H13 ou H14 et respectant les normes relatives aux filtres et aux performances intrinsèques de l’appareil. Les filtres et les appareils doivent notamment faire l’objet d’une maintenance régulière.
Les systèmes de filtration et décontamination de l’air conçus par ATA Medical réunissent tous les critères qui permettent de contrôler la contamination aéroportée, incluant les virus, bactéries, spores et autres pathogènes.
Équipés de filtres HEPA 13 ou H14 et d’une technologie de bio-décontamination, les purificateurs ATA ont prouvé leur efficacité à détruire à plus de 99,9{01e3c5e93231d16e008ef94f2b1d6fd0127ff363a7cc717001d1444d838f865e} les aérosols potentiellement infectés.
Nos unités de filtration de l’air ont des différentes capacités pour atteindre le taux de brassage d’air nécessaire au contrôle des infections aéroportés. En milieux à risque (salles d’infectieux, réanimation), la norme NF EN ISO 14644-1 définit un taux renouvellement d’air de 10 volumes par heure, alors que l’HCSP conseille changer 5 fois le volume par heure dans les lieux clos accueillant du public.
Le purificateur absorbe l’air vicié, et expire de l’air propre. La capacité du purificateur à renouveler l’air d’une pièce plusieurs fois par heure dépend de son débit d’air exprimé en m3/h.
Ce renouvellement d’air est gage d’efficacité. Ainsi – par exemple – le Multizone 800, d’un débit de 800 m3/h traitera plus de 5 fois par heure l’air d’une pièce de 50 m2.
Vous pouvez regarder ici la gamme complète, et consulter les rapports d’efficacité respectifs dans cette section.